Entre
38 et 100 Millions de requins sont tués pour leurs ailerons chaque
année. Plus de 20.000 cétacés meurent sous les harpons des
baleiniers japonais annuellement. Un super continent en plein milieu
du pacifique constitué de déchets plastiques. Et ne croyez pas
qu'en France, les choses aillent mieux, tant avec l'artificialisation
des terres, que des espèces animales et végétales directement
menacées par nos activités ou notre simple bêtise.
Évidemment,
ce qui a fait l'essentiel du programme décrit plus haut vise une
ambition écologique de façon indirecte. Mais protéger la
biodiversité ne peut se résumer à la seule planification
économique et agricole. Il est urgent de réagir car lorsque la
biodiversité est menacée, c'est l'homme lui-même qui court à sa
perte.
Tout
d'abord, il y'a ce que l'on peut faire en national, comme pénaliser
très fortement la destruction de certaines espèces comme le loup,
le blaireau, l'ours, le lynx et le renard. Ces carnivores sont aussi
des éboueurs de la nature. On ne peut pas continuer à les accuser
de tous les maux sous prétexte que nous aurions un droit de
jouissance de la nature qui surpasserait celui des autres espèces du
fait de notre condition humaine.
Cela,
philosophiquement, je ne parviens pas à m'y résoudre. Chaque vie
compte et a son importance. L'être humain doit repenser sa place
dans un écosystème qu'il croit pouvoir modifier à sa guise sans
que cela n'est de conséquence pour les générations futures.
Actuellement, les peines prévues pour les différentes atteintes à
l'environnement sont de 6 mois de prison et de 9000 € d'amende
seulement. Sachant que les peines inférieures à 1 an de prison sont
rarement purgées, pas de quoi effrayer quiconque souhaiterait tuer
une espèce menacée.
L'article
L 415-3 du code de l'environnement sera donc modifié de telle façon
à ce que les peines de prison puissent être d'au moins 5 ans, et
les amendes ré-évaluées à 50.000 € au moins. Plus aucune
autorisation de prélèvement ne sera accordée pour le loup qui
timidement, fait sa réapparition en France. Au contraire, cet animal
ainsi que bien d'autres espèces seront protégées
inconditionnellement et nous mettrons plutôt l'accent sur les
méthodes pastorales et agronomiques permettant de limiter les
difficultés causées par les animaux de façon générale.
Les
importations et productions locales de fourrures et vêtements en
fourrure seront interdites, sauf s'agissant de peaux prélevées sur
des animaux abattus pour notre consommation alimentaire.
Des
corvettes et frégates escorteront les navires des associations comme
la Sea Sheppherd qui décourage les baleiniers et braconniers pillant
les océans. Certains poissons verront leur pêche drastiquement
limitée voir interdite afin de favoriser le renouvellement des
stocks. Cela en concertation avec les pays riverains pratiquant les
mêmes prélèvements. Je pense particulièrement au thon rouge dont
les stocks diminuent dangereusement. Quand on sait que les thons sont
des grands prédateurs de méduses, il y'aurait pourtant de quoi
réfléchir. En développant une marine de commerce repensée, nous
inciterons le maximum de pêcheurs à se détourner de leur métier
originel pour entamer une carrière dans la marine marchande. Les
tailles des filets et certaines méthodes de pêches seront
clairement redéfinies.
Autre
résolution ferme : ouvrir une grande enquête sur les
Chemtrails afin de définir les responsabilités et les raisons de
ces épandages de produits chimiques à plus de 10.000 mètres
d'altitude par des avions. Vous le découvrez peut-être en lisant ce
livre, je vous suggère de vous y intéresser plus fermement sur
internet. Les Chemtrails seront interdits sur le territoire Français
et nous n'hésiterons pas à faire décoller des chasseurs pour
obliger un avion répandant ces produits dans l'atmosphère, à
atterrir sur l'aéroport le plus proche afin d'ouvrir une enquête.
Les
pesticides seront aussi interdits sur notre territoire de telle façon
à protéger une bonne fois pour toute les insectes pollinisateurs.
La
France se penchera aussi sur les moyens technologiques de pouvoir
agir sur le continent de plastique ainsi que sur une aide proposée
aux Japonais quant à leur site de Fukushima. Car la menace n'est pas
que concentrée sur le Japon, mais bien à l'échelle de toute la
planète. Il est urgent de vider les piscines de leurs barres de
combustible pour les stocker dans des endroits sûrs.
De
façon plus générale, tout projet de construction devra être
accompagné d'une contrepartie accordée à la nature qui soit
équitable. Nous privilégierons des espaces naturels riches de
biodiversité plutôt qu'une nature totalement domestiquée. Certains
espaces naturels seront déclarés inconstructibles comme les côtes,
les marais et zones particulièrement riches de biodiversité.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire